éric bunel
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Si l'on observe bien le site de cette association, elle a obtenu un agrément pour son engagement passionné et désintéressé dans la protection de la faune sauvage.
Quand on lit les missions et les objectifs de cette association, ça pleut un peu trop le miel et le lait, mais surtout la "vaseline" quant à la bienveillance concernant la souffrance de la faune sauvage par l'éducation, la prévention, l'information, le conseil téléphonique, etc ..., c'est-à-dire tout ce qui touche "physiquement" de loin à la véritable détresse d'animaux sauvages.
Concrètement, il n'existe toujours aucun centre de soins d'animaux à ce jour dans cette association, qui joue pleinement la carte de l'émotion et de la sensibilité animale, sans omettre d'abuser de la crédulité des donateurs sur leur réel impact sur la faune sauvage, en leur faisant miroiter un hypothétique futur centre de soins animaliers.
Si l'objectif de cette association était réellement le bien-être des animaux sauvages, elle aiderait financièrement le seul et unique centre de soins animaliers compétent en Bretagne à Languidic, "PIAFS", qui reçoit toutes les bêtes sauvages armoricaines.
"Trisk'ailes" apparait incontestablement encore aux antipodes de la réalité concrète de terrain du soin animalier.
Un internaute explique que l'association "Trisk'ailes" est allé jusqu'à engager une procédure judiciaire contre le centre "PIAFS", pour récupérer du matériel servant à soigner ces bêtes.
C'est absolument pitoyable, lamentable et inadmissible.
L'information de cet internaute définit la vile mentalité qui doit régner au sein de l'association "Trisk'ailes".
Les réponses aux internautes du ou de la chargée de communication de "Trisk'ailes", sont carrément contradictoires quand ça arrange en cas d'avis négatifs.
Il ou elle explique à une internaute pour justifier l'absence d'un centre de soins animaliers, outre le manque de fonds, sic, "il ne suffit pas de soigner les animaux, il faut éduquer la population pour avoir un impact réel".
Il n'empêche que Trisk'ailes a bel et bien essayé de récupérer du matériel de soins d'animaux chez "PIAFS" par un moyen peu scrupuleux.
J'ai visionné la vidéo youtube "Trisk'ailes" d'appel aux dons, où l'on peut observer des membres déguisés pour un mardi gras faisant l'aumône, après un sermon culpabilisant à la voix lugubre ou ténébreuse d'obsèques sur la destruction de la faune sauvage, et d'une dramaturgie abyssale.
On peut remarquer que la narratrice se garde bien d'expliquer le "grand projet" de centre de soins animaliers au conditionnel présent, en partenariat avec les terres de Nataé à la gestion historiquement déplorable. D'où l'expression animalière familière, "pas folle la guêpe !"
J'ai rarement vu un clip aussi consternant et grotesque, servant à appâter de potentiels crédules donateurs peu informés, et carrément leurrés en pensant que leurs soutiens financiers serviront aux soins animaliers.
Avons-nous affaires à une bande de "bobos" baignant dans l'entre-soi, ou à des "bouffons costumés" qui ne supporte pas qu'on leur mette le nez dans du factuel avec des avis négatifs ?
Pour ma part, je ne crois pas une seconde à l'efficacité de cette association sur les animaux sauvages, quel que fut l'agrément octroyé et théoriquement garant d'une "légitimité".
Je n'ai cure d'adhérents "Trisk'ailes donneurs de leçon de politesse, de morale et d'éthique du type, "Nous vous prions de respecter les efforts consacrés à notre mission commune et de reconnaître la diversité des contributions à la protection de la faune sauvage", de la part d'une association qui n'hésite pas à nuire à une autre association aux compétences reconnues.
Comme dit le proverbe, "charité bien ordonnée commence par soi-même".
En conclusion, j'invite tous les donateurs à se diriger efficacement sur la seule et unique association compétente référencée chez tous les vétérinaires, à la LPO et Sea Shepard, "PIAFS, dirigée par Didier Masci, afin que les dons servent objectivement à soigner, et sauver concrètement les animaux sauvages blessés ou malades.
À bon entendeur pour les découvreurs.
